31.3.13

« Nous sommes tous des criminels mais nous n’avons pas le cran de l’avouer. »
House-Dr House

29.3.13

« Plus je l'aime, plus il me hait. »
W.Shakespeare-Le songe d'une nuit d'été, Héléna

27.3.13

Une jeune fille.
Anastasia.

L'amour qu'est ce que c'est à part une réaction chimique de notre cerveau ?

« Tout le devoir du monde ne vaut pas une faute qui s'est commise par tendresse. »

Et si tout n'était qu'illusion ?

26.3.13

« Par un lapsus elle a changé
Le « vous » stérile en « toi » cordial,
Et dans mon âme éprise d'elle
Naissent les rêves de bonheur.
Songeur, je suis là, devant elle,
Sans pouvoir la quitter des yeux,
Disant : « Que vous êtes gentille! »
Tout en pensant : « Comme je t'aime! » »
A.S. Pouckine

24.3.13

Si tu veux jouer à la garce, d'accord, mais n'oublie pas qui je suis.

22.3.13

On voit une forme humaine dans le lac, un halo rose entourant sa tête. La jeune femme nage depuis environ deux heures, elle veut arriver au plus vite au village de l'autre coté de l'immense lac, elle avait pris la route mais il y avait un embouteillage à cause d'un arbre tombé en plein milieu de la route suite à la tempête de la veille, alors la jeune fille, sauta dans l'eau et commença à nager décidé à arriver au village. Elle leva la tête et regarda la forêt d'immense sapins autour d'elle, elle ne sait pas trop pourquoi elle fait ça mais elle le fait. Arriver à la plage, elle sort de l'eau et se rend compte comme l'air, bien qu'il soit doux, est tranchant contre sa peau mouiller. Elle marche alors, reconnaissant chaque rues et chaque détails du village dans lequel elle se trouve, voyant le café, l'épicerie, le magasins de bonbons et la boutique de vêtements  qui n'ont pas changer depuis la dernière fois qu'elle les a vu. Elle tourne alors à gauche, puis dans une rue à droite, et dans une autre rue à gauche qui s'enfonce légèrement dans la forêt. Elle continue sur cette route, et trouve alors ce qu'elle cherchait, une jolie petite maison en bois dans une clairière avec ses parterres de fleurs sur le devant était là devant ses yeux. Elle s'avance, soulève le paillasson et en décolle une petite clé rouillé, elle la prend et ouvre la porte et entre. Elle se retrouve alors dans un couloir qui donne accès à un salon chaleureux avec une cheminé, à cuisine, et à un escalier qui monte. Elle parcours les différentes pièces, regardant parfois les photos qui la représentaient plus jeune avec des cheveux bruns, observant cette endroit qui autrefois avait été sa maison, maison qu'elle avait fuit. Elle monta l'escalier et entra dans une petite chambre au murs rose, se mit à genoux par terre, souleva une lame de parquet et en sortit un gros et vieux album de cuir sur lequel était écrit « Mon Livre d'Aventures », elle l'avait commencer lorsqu'elle devait avoir environ cinq ans et l'avait abandonner là depuis sa fugue. Elle l'ouvrit et le feuilleta jusqu'à trouver la page qu'elle chercher, il y avait écrit en gros « Mon voyage avec maman ! », il y avait deux photos, l'une montrais un grand paysage de champs prise d'une grande hauteur, la deuxième représentais elle à l'âge de sept ans avec sa mère qui la serrait fort dans ses bras. Le texte qui les accompagnait raconter qu'elle et sa mère étaient monter sur une montgolfière, la jeune fille lut le texte écrit de sa jeune main, et regarda les photos, puis pleura. C'était un des meilleurs souvenirs qu'elle avait avec sa mère. Elle se dit qu'il avait était dommage de l'avoir fait tant souffrir en partant comme ça, sans lui donner aucune nouvelle depuis bientôt trois ans. Et que maintenant il était trop tard, pour rattrapé le temps perdu, maintenant que sa mère était morte. Elle s'assit par terre, appuyant sa tête contre le lit et pleura, ne se souciant de rien, même pas du fait que son père et sa soeur allaient bientôt arriver et la découvrirent ainsi, effondré sur son lit alors qu'ils ne l'avaient pas vu depuis de longues années. Elle resta là à pleurer, se lamentant, et se souvenant les derniers souvenirs qu'elle avait de sa mère.

20.3.13

« The cockamouse ! »
How I Met Your Mother-Lily et Marshall

18.3.13

C'est bien d'avoir des rêves et des ambitions. Vivre à New-York, devenir écrivaine et aller faire ces études à Oxford par exemple.

17.3.13

Je t'ai toujours aimé, dès la seconde ou je t'ai vu, dès le moment ou nos yeux se sont croisés. En te voyant je suis tombé amoureuse de toi. Je ne sais pas si ça était pareil pour toi, ni si tu m'a aimé à la seconde ou tu m'a vu. le fait étant que je t'ai aimé, dès le début, je t'ai toujours aimé d'un amour fou, passionnel et irréel. Et maintenant je me demande, je t'aime encore ? Je suis persuadé que non, mais le doute persiste quand je te vois, ce sentiment "d'amour", vient, m'envahit parfois lorsque je te vois dans les yeux, puis repart aussi vite qu'il est venu lorsque je détourne les yeux. Et le doute, de savoir si un jour tu m'a aimé, et si un jour tu m'aimera, se mêlaient aux autres, me faisant des rêves fous dans lesquels tu me dirais ce "je t'aime" et toutes ces belles chose. Alors je me referme donc le coeur, me disant que ce n'est pas bien, et enfermant ces sentiments au fond d'une boite dans mon esprit, qui s'ouvre inévitablement chaque fois que je te vois.

Fait quelque chose, une parole, un geste, dit moi quelque chose, parle moi, dit moi une phrase banale "salut ça va ? ", une déclaration d'amour cliché, ou un texte que tu inventerais et lirais dans mes yeux. Mais s'il te plait fait quelque chose.

15.3.13

Regarde toi, tu es là,
Assise par terre comme une mendiante,
Tenant dans tes mains un bouquet fané,
Acheter maintenant il y quelques années.
Tu observe une simple pierre gravé.
Mais que pleure tu ici?
Pleure-tu la pierre que tu observe ou le cadavre qui est en dessous ?
Pleure-tu le cadavre ou les souvenirs qui te lient à lui ?
Pourquoi es-tu là sous la pluie et la neige,
A pleurer une pierre et de pauvres moisissure.
Si tu pleure les souvenirs ne reste pas là.
Vis pour ce corps sans âme au lieu de mourir à cause de lui.
Tu n'est déjà plus personne.
Tu t'enracine, tu disparais, tu t’enterre et t'enfonce dans cette terre putride.
Prend-moi tant des tes bras et embrasse-moi.

13.3.13

Le temps n'attend personne.

J'ai fini de transcrire mon livre.

Que j'aime les renards.

Je m'excuse de ne pas avoir était là.
Mais comment dire, l'école à commencer, on m'a appris qu'il fallait que je travaille plus si je veux faire la fillière que je veux. Donc plus de travail égal moins temps sur l'ordi égal peut-être moins d'article quotidienement (un tout les jours), et plus d'artcicle en "masse" (2-3 articles tout les 2-3 jours), mais juste peut-être, c'est pas sur, sachant qu à chaque fois que j'aurais accès à l'ordi ma priorité sera de poster.

9.3.13

« Je pourrais être morte dans une seconde. Tout est si fragile. »
Skins-Emily
« -Vous vous bâtez pour l'argent, nous on se bat pour l'honneur.
- Et bien chacun se bat pour ce qu'il lui manque. »
Dans le petit-train de St-Malo

7.3.13

Je suis de ces personnes qui sont apte à, au début des grandes vacances de retourner dans son ancien collège et de monter dans le toit du préau du dit collège. Et d'en être fière.
Je l'ai fait comme il y 6 mois, c'était en juin.
Lorsqu'on aime on ne voit pas, lorsqu'on aime on ne sent pas, lorsqu'on aime on ne mange plus, lorsqu'on aime on ne dort plus, lorsqu'on aime on ne vit plus, mais on est heureux. Lorsqu'on n'aime plus on renaît, on revit. Mais lorsqu'on n'aime pas c'est là qu'on ne vit pas.

6.3.13

Je serais lionne, vous serez proies.

4.3.13

Il y a une légende qui dis qu'il existe son alter ego en sept fois sur cette Terre, j'aimerais bien connaitre les miens.

3.3.13

Trouver sa vocation. Ce pourquoi on est fait, ce qui nous rend heureux et nous est indispensable.
Je crois à présent que je ne pourrais plus vivre sans écrire.
Le père de Marie, à cinq fille, Nana, Nene, Nini, Nono. Quel est le prénom de sa cinquième fille ?

« La meilleure raison pour se suicider, c'est la peur de a mort. »